Saints et Saintes du mois de Mars

1er mars

 

En 492, saint Félix III, noble romain qui renonça à ses privilèges pour servir le Christ et l’Église. Devenu pape, il obtint la liberté de religion pour les catholiques d’Afrique du Nord de son temps.

 

Vers 550, saint Aubin. D’abord abbé de Nantilly, près de Saumur, il devint ensuite évêque de la ville d’Angers dont il est devenu le patron céleste.

 

Au VIe siècle, saint David. D’abord moine, il fonda ensuite le siège épiscopal de Ménévie, sur un promontoire de la Mer d’Irlande. Il est demeuré le grand saint national du Pays de Galles, dont il est le patron.

 

A la fin du VIIIe siècle, saint Sivard. Après avoir reçu une solide éducation humaine et chrétienne, il suivit son père qui prenait l’habit au monastère de Saint-Calais, dans le Maine. Il en devint plus tard le cinquième abbé.

 

Et encore ailleurs, beaucoup d’autres saints et bienheureux.

 

 

2 mars

 

En Campanie, mémoire de quatre-vingt cinq martyrs qui refusèrent de manger des viandes offertes aux idoles et d’adorer une tête de chèvre; pour ce motif ils furent cruellement mis à mort par les Lombards, vers 579.

 

Au VIIe siècle, saint Chad (Tchad). Après avoir gouverné un monastère du comté d’York, il fut consacré évêque au service de l’Église de Lindisfarne, puis de celle de Lichfield (Litchfilde).

 

L’an 1127, le bienheureux Charles le Bon, comte de Flandre. Sa charité et sa justice lui valurent la haine de quelques seigneurs qui le firent assassiner à Bruges. Cette mort d’un homme pénétré de l’amour de Dieu, fut considérée comme un martyre par la dévotion populaire.

 

En 1366, le bienheureux Henri Suso. Il rejoignit très jeune les Frères Prêcheurs dont il devint prieur de plusieurs couvents. Il se distingua par ses ouvrages qui ont fait date dans l’histoire de la littérature spirituelle.

 

Et encore ailleurs, beaucoup d’autres saints et bienheureux.

 

 

3 mars

 

En Palestine, en 262, la passion des saints Marin et Astère. D’après l’historien Eusèbe, Marin allait être promu au grade de centurion, quand il fut dénoncé comme chrétien par un rival. Contraint de choisir, Marin préféra la palme du martyre aux honneurs militaires. Le sénateur romain Astère, qui avait assisté au supplice, fut mis à mort à son tour, pour avoir recueilli son corps.

 

Vers l’an 308, le martyre des saints Cléonique, Eutrope et Basilisque. Arrêtés pour avoir confessé la vérité qui est le Christ, ces soldats furent condamnés, les deux premiers au supplice de la croix, le troisième à être décapité.

 

Vers 530, saint Guénolé. Fils d’un seigneur celte des Iles Britanniques, il fut, vers sa vingt-et-unième année, mis à la tête d’un groupe de onze moines qui se fixa à Landévennec.

 

Vers 1039, sainte Cunégonde. Avec le consentement de son époux, l’empereur Henri ii, elle garda la virginité qu’elle avait vouée avant son mariage. A la mort de l’empereur, elle se retira dans un monastère qu’elle avait fondé à Bamberg.

 

A Saint-Riquier, dans le Ponthieu, l’an 1075, saint Gervin, abbé de ce monastère.

 

Et encore ailleurs, beaucoup d’autres saints et bienheureux.

 

 

4 mars

 

En 1484, la naissance au ciel de saint Casimir, prince héritier et patron céleste de la Pologne et de la Lituanie.

 

L’an 254, saint Lucius Ier, pape. Il fut exilé quelque temps durant la persécution de Valérien. Saint Cyprien a décrit l’accueil enthousiaste des fidèles à son retour à Rome.

 

En Asie Mineure, sous l’empereur Dioclétien, au début du ive siècle, la passion de saint Adrien, officier de l’armée impériale.

 

Dans la Chersonèse, (Kersonèse), presqu’île du nord de la Mer Noire, au début du IVe siècle encore, la passion de sept évêques de l’Église grecque, qui rendirent témoignage au Christ par leur vie, leur prédication et leur mort.

 

Au diocèse de Coutances, vers 614, saint Léonard, évêque.

 

Dans la Manche, en 1877, la bienheureuse Mère Placide Viel, supérieure générale de la Congrégation des Sœurs de Saint-Sauveur-le-Vicomte.

 

Et encore ailleurs, beaucoup d’autres saints et bienheureux.

 

 

5 mars

 

Vers la fin du IIe siècle, saint Théophile, évêque de Césarée de Palestine. Il seconda les efforts du pape saint Victor pour faire célébrer en Asie, la fête de Pâques le dimanche qui suit le quatorzième jour de la lune, selon la tradition apostolique et romaine, et non pas le quatorzième jour lui-même.

 

L’an 475, saint Gérasime. Un instant égaré dans l’hérésie monophysite, il revint dans le chemin de la vérité et vécut en anachorète dans le désert près de Jéricho.

 

Au début du VIIe siècle, saint Virgile, moine de Lérins. Il fut chargé, plus tard, de gouverner l’abbaye de Saint-Symphorien d’Autun, avant d’être consacré évêque d’Arles. Le pape saint Grégoire le Grand lui témoigna sa confiance en lui demandant de régler, en son nom, les affaires de l’Église dans les Gaules.

 

En 1734, saint Jean-Joseph de la Croix, qui ranima la flamme de l’Ordre franciscain dont il fut le provincial en Italie.

 

Et encore ailleurs, beaucoup d’autres saints et bienheureux.

 

 

6 mars

 

Au VIe siècle, saint Fridolin, moine irlandais. Après avoir longtemps séjourné à Poitiers, il reprit le bâton de pèlerin et se fixa à Säckingen (Zékinngueun) non loin de Bâle, où il fonda un double monastère en l’honneur de saint Hilaire.

 

L’an 766, saint Chrodegang, évêque de Metz. Il fut un des premiers à adopter, puis à propager en Gaule la liturgie romaine et le chant grégorien. Il donna aussi aux chanoines une règle de vie fraternelle. Il fut inhumé à l’abbaye de Gorze qu’il avait fondée.

 

En 1048, le trépas de saint Gradulphe, abbé de Saint Wandrille de Fontenelle.

 

En 1137, le bienheureux Ollégaire, évêque de Barcelone, puis archevêque de Tarragone. Il fut un médiateur de paix entre les princes de son temps.

 

En 1252, sainte Rose de Viterbe, jeune chrétienne italienne de dix-huit ans, du Tiers-Ordre de saint François. Elle avait l’habitude de prêcher sur les places publiques pour la foi, la morale, et la soumission au pape.

 

A Gand, en Flandre, vers 1447, sainte Colette ou Nicole. Tertiaire franciscaine, elle mena d’abord une vie de recluse près de l’église de Corbie, sa ville natale. Elle entreprit ensuite de ranimer l’amour et la pratique de la pauvreté évangélique dans l’Ordre des Clarisses, dont elle devint abbesse générale.

 

Et encore ailleurs, beaucoup d’autres saints et bienheureux.

 

 

7 mars

 

Mémoire de sainte Perpétue, dont le nom est mentionné dans la première prière eucharistique, de sainte Félicité, esclave, et de trois autres chrétiens, martyrisés dans l’amphithéâtre de Carthage le 7 mars 203.

 

A Césarée de Palestine, saint Eubule, qui fut martyrisé pour le nom du Christ, avec le médecin saint Julien à la fin du IIIe siècle.

 

En Thébaïde, vers 340, saint Paul surnommé le simple, pour son esprit d’obéissance et d’enfance spirituelle. Ayant quitté son épouse aux mœurs dépravées, il rejoignit saint Antoine dont il devint le disciple.

 

L’an 686, saint Easterwin (isteurouin), abbé de Wearmouth (Ouirmeuss). Sa vie a été écrite par le Vénérable Bède.

 

Vers 840, saint Théophilacte, évêque de Nicomédie. Il fut exilé pour s’être prononcé courageusement en faveur du culte des saintes images.

 

Le même jour, les saintes Thordgith (tôggit) et Eadgith (éditt) moniales anglaises du VIIe siècle, et le bienheureux Reinhard (raillnart), premier abbé de Reinhausen (raillnaouzeunn) au XIIe siècle.

 

Et encore ailleurs, beaucoup d’autres saints et bienheureux.

 

 

8 mars

 

A Grenade, en Espagne, l’an 1550, la naissance au ciel de saint Jean de Dieu, fondateur de l’Ordre des Frères Hospitaliers qui portent son nom. Au cours d’une vie extraordinaire, il brilla par sa sainteté, sa charité et son obéissance.

 

A Carthage, au IIIe siècle, saint Ponce, diacre du bienheureux évêque Cyprien. Il accompagna ce dernier en exil et l’assista dans son martyre.

 

En Égypte, vers 311, la passion de saint Arien qui fut noyé en mer.

 

En 690, la mise au tombeau de saint Julien, archevêque de Tolède et primat d’Espagne. Il s’appliqua à restaurer la liturgie mozarabe.

 

Dans la vallée de la Corrèze, l’an 1159, saint Étienne, abbé d’Obazine, qui proposa d’abord à ses disciples de vivre en commun l’idéal du désert, puis se rattacha tout simplement à l’Ordre cistercien.

 

Et encore ailleurs, beaucoup d’autres saints et bienheureux.

 

 

9 mars

 

L’an 1440, la naissance au ciel de sainte Françoise Romaine, épouse et mère de famille chrétienne. Veuve à 52 ans, elle anima une communauté d’oblates bénédictines, vouées à la prière et aux œuvres charitables.

 

Vers 390, à Barcelone, saint Pacien, évêque. Il écrivit beaucoup au sujet de la discipline ecclésiastique. Sa science et sa sainteté l’ont fait ranger parmi les illustres évêques de l’Espagne.

 

Au Xe siècle, saint Antoine, moine de Luxeuil, qui fut ermite à Froidmont, au diocèse de Beauvais.

 

En Bretagne, l’an 1038, le bienheureux Félix, abbé de Rhuys.

 

En 1463, sainte Catherine, abbesse du couvent des Clarisses de Bologne. Favorisée de grâces mystiques, elle ne cessait d’exhorter ses filles aux humbles vertus d’union et de paix.

 

L’an 1857, saint Dominique Savio. Il mourut à l’âge de quinze ans au collège fondé à Turin par saint Jean Bosco, après avoir donné l’exemple d’une vie de prière, et d’une charité fraternelle enjouée et austère à la fois.

 

Et encore ailleurs, beaucoup d’autres saints et bienheureux.

 

 

10 mars

 

A Sébaste, en Arménie, en 320, la mémoire des saints Quarante Martyrs. Soldats qui, pour leur foi, furent meurtris, puis exposés au froid la nuit sur un étang glacé.

 

En Asie Mineure, au IIe siècle, saint Caïus, qui rendit témoignage au Christ avec son compagnon nommé Alexandre.

 

A Rome, en 483, la mise au tombeau du bienheureux Simplice, pape. Témoin de la chute de l’empire romain d’Occident, il défendit avec courage la cause de l’Église et fit prévaloir la doctrine du concile de Chalcédoine sur le Christ, vrai Dieu et vrai Homme.

 

Vers 576, la mise au tombeau de saint Droctovée, premier abbé du monastère qui prit plus tard le nom de Saint Germain-des-Près et fut rattaché, au XVIIe siècle, à la Congrégation de Saint-Maur.

 

L’an 626, saint Attale, abbé. Successivement moine de Lérins, puis de Luxeuil, il suivit saint Colomban à Bobbio, et lui succéda dans la charge abbatiale.

 

Et encore ailleurs, beaucoup d’autres saints et bienheureux.

 

 

11 mars

 

A Laodicée de Syrie, en 308, le martyre des saints Trophyme et Thale, crucifiés pour leur foi en la divinité de Jésus-Christ.

 

Vers 640, saint Sophrone. Après avoir passé vingt ans sous la conduite de l’ermite Jean Moschus, qui lui dédia un ouvrage, le "Pré Spirituel", il fut placé à la tête de l’Église de Jérusalem. Il est l’héritier ultime de la tradition monastique palestinienne.

 

En Espagne, en 859, la passion de saint Euloge, prêtre. Très cultivé, il composa une "Exhortation au martyre", pour encourager les chrétiens affrontés à l’Islam.

 

Au début du VIIIe siècle, saint Vindicien, évêque d’Arras. Il bâtit de nombreux monastères et lieux de culte, et joua un rôle important dans la politique de son temps.

 

Et encore ailleurs, beaucoup d’autres saints et bienheureux.

 

 

12 mars

 

L’an 295, près de Carthage, saint Maximilien, jeune chrétien martyrisé à l’âge de vingt-et-un ans pour avoir refusé de porter l’insigne militaire parce que, disait-il, « je porte déjà le signe du Christ ».

 

Vers 303, la passion de saint Pierre, chambellan de l’empereur Dioclétien à Nicomédie. Il fut brûlé vif pour avoir protesté ouvertement contre la cruauté des supplices infligés aux chrétiens.

 

L’an 572, saint Paul Aurélien, moine originaire du Pays de Galles. Il gagna la côte armoricaine et établit des communautés dans l’île d’Ouessant et l’île de Batz, avant de devenir évêque de Léon.

 

A Samothrace, en 817, saint Théophane, moine. Il subit l’exil pour avoir défendu, par son éloquence et son savoir, la doctrine concernant le culte des saintes images.

 

Le même jour, le bienheureux Rusticus, deuxième successeur de saint Jean Gualbert à Vallombreuse, à la fin du XIe siècle ; et la bienheureuse Justine, moniale bénédictine, qui s’endormit dans le Seigneur en 1319 à Arezzo en Toscane.

 

Aux Pays-Bas, en 1471, le bienheureux Denis le Chartreux. Excellent écrivain mystique, il était surnommé le “docteur extatique”.

 

Et encore ailleurs, beaucoup d’autres saints et bienheureux.

 

 

13 mars

 

En Égypte, durant la persécution de Dioclétien, en 287, saint Sabin. Après avoir enduré de cruelles tortures pour le Christ, il fut jeté dans le Nil.

 

En Thébaïde, vers 412, sainte Euphrasie, vierge. Retirée dans une communauté religieuse, elle mit sa fortune à la disposition des pauvres. Les Grecs ont sainte Euphrasie en grande vénération.

 

Vers 564, à Poitiers, saint Pient qui aida sainte Radegonde à construire son monastère.

 

En 828, saint Nicéphore, patriarche de Constantinople. Il mit son autorité au service de la doctrine concernant les saintes images.

 

A Cordoue, en 857, le martyre des saints Rodrigue et Salomon. Converti de l’Islam, Rodrigue fut trahi par son frère resté musulman. Jeté en prison, il s’y retrouva avec un chrétien nommé Salomon qui, ayant d’abord apostasié, était ensuite revenu vers le Christ.

 

En Savoie, au IXe siècle, saint Heldrad, abbé. Né près d’Aix-en-Provence, il gouverna une communauté qui desservait un hospice installé sur le Mont-Cenis.

 

A Oxford, en 1232 ou 1236, la naissance au ciel du bienheureux Ange ou Agnello, né à Pise. Entré chez les Frères Mineurs, il fut envoyé en Angleterre. Il y propagea adroitement son Ordre religieux, et fit bâtir à Oxford une grande école pour l’enseignement de la théologie.

 

Et encore ailleurs, beaucoup d’autres saints et bienheureux.

 

 

14 mars

 

A la fin du Ve siècle, les saints Pierre et Aphrodise, martyrs africains, qui attestèrent par leur mort, la divinité du Christ, face aux Vandales.

 

Vers 560, saint Lubin. Éduqué par la vie de plusieurs monastères, il fut choisi comme abbé de Brou, près de Châteaudun, et ensuite élu évêque de Chartres. Il fut un des plus grands évêques de la région, et assista aux conciles d’Orléans et de Paris.

 

A Halberstadt, en Saxe, l’an 968, sainte Mathilde, impératrice de Germanie. Elle consacra sa vie aux œuvres de charité, et fonda cinq monastères.

 

Au XIIIe siècle, saint Vincent, évêque de Cracovie. Il passa les cinq dernières années de sa vie dans l’Ordre cistercien.

 

Et encore ailleurs, beaucoup d’autres saints et bienheureux.

 

 

15 mars

 

Dans l’Hellespont, sous l’empereur Dèce, le martyre de saint Ménigne. Teinturier de son métier, il servit de tout son pouvoir ses frères chrétiens, avant d’être lui-même condamné à mort pour avoir déchiré les édits de persécution.

 

En Égypte, en 304, saint Nicandre, mis à mort sous l’empereur Dioclétien, tandis qu’il rassemblait avec respect les corps des martyrs.

 

A Thessalonique, encore en 304, sainte Matronne, servante chrétienne qui fut soumise à de rudes flagellations par sa maîtresse, pour avoir confessé la divinité du Christ.

 

A Paris, en 1660, sainte Louise de Marillac, épouse et mère de famille chrétienne. Elle décida de consacrer sa vie au soin des pauvres après son veuvage. Saint Vincent de Paul fut son guide spirituel et l’aida à fonder la "Compagnie des Filles de la Charité".

 

En 1820, saint Clément-Marie Hofbauer. Prêtre de la Congrégation du Très-Saint-Rédempteur, il propagea son Institut en Pologne où il ouvrit plusieurs maisons. Après les guerres napoléoniennes et prussiennes, il se fixa à Vienne, en Autriche, où ses remarquables prédications lui attirèrent les foules.

 

Et encore ailleurs, beaucoup d’autres saints et bienheureux.

 

 

16 mars

 

A Aquilée, à la fin du IIIe siècle, les saints martyrs Hilaire, évêque, et Tatien, diacre, qui communièrent aux souffrances du Christ par le supplice du chevalet.

 

Au IVe siècle, la passion de saint Julien. Après diverses tortures, il fut finalement cousu dans un sac avec des serpents, puis jeté dans la mer.

 

Au IVe siècle encore, saint Abraham. Ordonné prêtre, il convertit au Christ une bourgade païenne, près d’Édesse. Après ce succès apostolique, il se retira au désert où il vécut en ermite.

 

L’an 1021, saint Héribert. Fils du comte de Worms, il fit ses études à l’abbaye de Gorze, près de Metz. Nommé plus tard au siège épiscopal de Cologne, il fut un conseiller écouté des empereurs Othon et Henri.

 

A Assise, en 1260, la bienheureuse Bénédicte ou Benoîte qui entra au couvent de Saint-Damien, gouverné alors par sainte Claire. En 1253, elle lui succéda, donnant l’exemple d’une constante régularité et d’une stricte pauvreté.

 

En 1915, le bienheureux Placide Riccardi, moine bénédictin de Saint-Paul-hors-les-Murs. Il exerça un grand rayonnement apostolique par sa vie de prière.

 

Et encore ailleurs, beaucoup d’autres saints et bienheureux.

 

 

17 mars

 

En 461, la naissance au ciel de saint Patrick ou Patrice. Après un séjour monastique à Lérins puis à Auxerre, il retourna évangéliser l’Irlande dont il est le patron. Sa mémoire est spécialement vénérée à Downpatrick, dans la province d’Ulster.

 

En 580, saint Agricole. Issu d’une famille sénatoriale, il renonça à ses privilèges pour se consacrer au service de l’Église et devint évêque de Chalon-sur-Saône.

 

En Brabant, sainte Gertrude de Nivelles. Fille du maire du palais Pépin de Landen, elle reçut le voile des vierges consacrées, des mains de saint Amand, et fonda sur les terres de son père un monastère, où elle mourut en 659 à l’âge de trente-trois ans.

 

Dans l’île de Chypre, vers l’an 770, le martyre de saint Paul, qui fut livré aux flammes pour avoir pris la défense de l’usage des saintes images.

 

En 1620, le bienheureux Jean Sarkander, prêtre en Moravie. Il fut torturé pour des raisons politiques et pour son refus de révéler le secret de la confession. Il mourut dans sa prison des suites des violences subies.

 

Et encore ailleurs, beaucoup d’autres saints et bienheureux.

 

 

18 mars

 

L’an 386, la naissance au ciel de saint Cyrille, évêque de Jérusalem et docteur de l’Église. Chargé d’abord de la préparation des catéchumènes qu’il initia aux mystères chrétiens, il travailla au service de la vérité et de l’unité dans l’Église, au premier concile œcuménique de Constantinople.

 

En Palestine, saint Alexandre. Disciple de Clément d’Alexandrie avant d’être nommé pasteur de l’Église de Jérusalem. Il accueillit Origène et l’ordonna prêtre, puis mourut en prison sous la persécution de Dèce.

 

A Nicomédie, au début du IVe siècle, les saints martyrs Trophime et Eucarpe. Soldats païens, ils avaient été envoyés à la poursuite des chrétiens ; mais convertis en route par les exemples dont ils étaient témoins, ils furent arrêtés à leur tour et livrés aux bêtes.

 

Au VIe siècle, saint Frigdien (Fridine), moine irlandais. Au retour d’un pélerinage à Rome, il fut désigné comme évêque au service de l’Église de Lucques, en Toscane.

 

En 707, saint Tétrich, abbé du monastère de Saint-Germain à Auxerre, puis évêque de cette ville.

 

En 1883, à Saint-Sauveur-le-Vicomte, la naissance au ciel de la bienheureuse Marthe Le Bouteiller, religieuse des Sœurs de la Miséricorde. Elle fut pendant un demi-siècle, l’exemple même de celle qui accomplit, en la présence de Dieu, les tâches les plus humbles.

 

Et encore ailleurs, beaucoup d’autres saints et bienheureux.

 

 

19 mars

 

Solennité de saint Joseph, suscité par Dieu pour veiller comme un père sur l’Enfant-Jésus et sa Mère. (N.B. Certaines années – voir calendrier liturgique – il conviendra d’ajouter cette phrase : La célébration liturgique de cette fête se fera cependant cette année le ...)

 

Au début du IVe siècle, saint Panchaire. Romain de naissance, il était chrétien et occupait un poste important à la cour de Dioclétien, quand il apostasia sous l’influence de l’empereur. Les prières de ses proches l’amenèrent bientôt au repentir, et il déclara héroïquement sa foi recouvrée. Pour ce motif, il fut décapité.

 

Au VIe siècle, saint Jean, abbé. Originaire de Syrie, il vint se fixer à Pinna dans les Abruzzes, où il bâtit un monastère qu’il gouverna pendant quarante ans.

 

Au VIIe siècle, les saints Landoald, prêtre romain, et Amance, diacre, qui furent envoyés par le pape saint Martin Ier, évangéliser la Flandre.

 

En 1945, la naissance au ciel du bienheureux Marcel Callo. Ouvrier compétent et honnête, il était aussi un ardent apôtre de la J.O.C., et c’est à ce titre qu’il fut arrêté durant son temps de Service du Travail Obligatoire en Allemagne. Interné au camp de Mauthausen, il y mourut d’épuisement.

 

Et encore ailleurs, beaucoup d’autres saints et bienheureux.

 

 

20 mars

 

En 580, saint Martin de Braga. Originaire de Panonie, l’actuelle Hongrie, il mena la vie monastique en Palestine d’où il gagna la péninsule ibérique. Élu archevêque de Braga, il exerça une influence pastorale durable par ses écrits, en particulier par sa "Prédication aux ruraux".

 

En Angleterre, l’an 687, le retour à Dieu de saint Cuthbert. Entré au monastère de Melrose de tradition irlandaise, il fut envoyé à l’abbaye de Lindisfarne d’observance bénédictine et de rite romain. Apôtre infatigable, il reçut l’ordination épiscopale, mais il en résigna bientôt les fonctions pour reprendre la vie solitaire.

 

Vers l’an 698, la naissance au ciel de saint Vulfran. Fils d’un officier de l’armée de Clovis II, il quitta la Cour à la mort de son père et fit don de ses terres à l’abbaye de Fontenelle. En 682, il fut nommé au siège épiscopal de Sens, et de là, partit évangéliser la Frise, où il obtint la conversion du chef de ce pays.

 

En Orient, l’an 783, saint Nicétas, évêque, qui mourut en exil pour avoir défendu la doctrine des saintes images.

 

Et encore ailleurs, beaucoup d’autres saints et bienheureux.

 

 

21 mars

 

Au IVe siècle, le martyre de Plusieurs Chrétiens Égyptiens, massacrés par des ariens et des païens, au jour anniversaire de la Passion du Seigneur.

 

A la même époque, le bienheureux Sérapion. Évêque de Thmuis, il fut chassé de son siège épiscopal pour l’orthodoxie de sa foi. Le célèbre Euchologe, transmis sous son nom, constitue un précieux témoin de la liturgie égyptienne du ive siècle.

 

Vers 480, au monastère de Lauconne, près de Condat dans le Jura, l’abbé saint Lupicin, frère de saint Romain.

 

Ce même jour, la naissance au ciel de la bienheureuse Clémence d’Hohenberg. Devenue veuve, elle se fit religieuse à l’abbaye bénédictine de Trèves en Rhénanie où elle mourut en 1176.

 

A Mantoue, en 1516, le bienheureux Baptiste Spagnuolo, carme. Surnommé le "Virgile chrétien", il composa plus de cinquante mille lignes de poésie sacrée latine. Élu général de son Ordre, il fut remarqué par sa discrétion et sa prudence.

 

Et encore ailleurs, beaucoup d’autres saints et bienheureux.

 

 

22 mars

 

A Ancyre, aujourd’hui Ankara, vers 360, saint Basile, prêtre. A l’avènement de Julien l’Apostat, son opposition ouverte à l’empereur lui mérita la palme du martyre.

 

Vers 483, sainte Léa. Dame romaine de haut rang, elle renonça au monde après la mort de son mari et vécut sous la conduite de saint Jérôme.

 

Le même jour, en 456, saint Déogratias, évêque de Carthage. Il racheta un grand nombre de fidèles catholiques, captifs des Vandales ariens.

 

De même à Carthage, le martyre de saint Octavien, archidiacre, et de plusieurs milliers de chrétiens africains, mis à mort pour leur foi vers 484.

 

Au milieu du VIIIe siècle, saint Zacharie, pape, qui gouverna l’Église avec une grande vigilance. D’origine grecque, il traduisit dans sa langue maternelle les Dialogues de saint Grégoire le Grand.

 

Et encore ailleurs, beaucoup d’autres saints et bienheureux.

 

 

23 mars

 

L’an 1606, saint Turibio de Mogrovejo (Mogrovero). Après avoir été pendant cinq ans le premier magistrat de Grenade, il fut nommé au siège épiscopal de Lima au Pérou. Il est considéré comme le rénovateur de l’Église en ce pays.

 

Au IIIe siècle, durant la persécution de Dèce, le martyre de saint Nicon (Nicone) et de tous les moines vivant sous sa conduite.

 

En 435, saint Victorien, gouverneur de Carthage, martyrisé avec quatre autres chrétiens pour avoir repoussé tous les honneurs que lui promettait son maître, Hunéric, roi des Vandales, en échange de son apostasie.

 

En Espagne, l’an 1702, saint Joseph Oriol. Grâce à une aide charitable, il put, malgré ses origines très modestes, poursuivre ses études et recevoir le sacerdoce. Affecté à une paroisse de Barcelone, il vécut pauvrement dans une mansarde, partageant son temps entre le ministère du sacrement de la réconciliation et le dévouement auprès des plus démunis.

 

Et encore ailleurs, beaucoup d’autres saints et bienheureux.

 

 

24 mars

 

En Palestine, le martyre de Huit Chrétiens qui, après avoir confessé leur foi, eurent la tête tranchée durant la persécution de Dioclétien.

 

En Italie, à la fin du Xe siècle, le retour à Dieu de saint Aldémar. D’abord moine au Mont-Cassin, il fut plus tard nommé abbé de Saint-Laurent de Capoue, fonda ensuite l’abbaye Sainte-Euphémie de Bucchianico et plusieurs autres dans le diocèse de Chieti (Kiéti), qu’il évangélisa.

 

En Toscane, au XIe siècle, la naissance au ciel de la bienheureuse Berthe, de l’Ordre de Vallombreuse.

 

En Suède, l’an 1381, sainte Catherine. Mariée à un jeune seigneur avec qui elle convint, dès le jour des noces, de vivre dans la continence, elle accompagna sa mère, sainte Brigitte, en divers pèlerinages. Après la mort de celle-ci à Rome, elle rentra en Suède et se retira au monastère de Valdstena, qu’elle gouverna et auquel elle donna une règle de vie.

 

Et encore ailleurs, beaucoup d’autres saints et bienheureux.

 

 

25 mars

 

LAnnonce de la divine Incarnation à la Bienheureuse Vierge Marie (Certaines années, cette solennité est décalée).

 

A Jérusalem, la mémoire de la naissance au ciel de saint Dismas, le Bon Larron, qui confessa le Christ sur la croix, et mérita de s’entendre dire cette parole : “Aujourd’hui, tu seras avec moi dans le paradis”.

 

L’an 269, le martyre de saint Quirin, victime de la persécution de Claude le Gothique. Son corps, jeté dans le Tibre, fut recueilli et enseveli par les saints Marius et Marthe, chrétiens persans, alors présents à Rome.

 

En 304, à Sirmium, ancienne ville au nord-ouest de l’actuelle Belgrade, la passion de saint Irénée, évêque, au temps de l’empereur Dioclétien.

 

A Laodicée, en Syrie, en 381, saint Pélage, évêque. Il subit l’exil en Arabie pour avoir défendu l’orthodoxie de la foi aux côtés de saint Basile le Grand.

 

Au VIIe siècle, saint Humbert, moine de l’abbaye de Laon, envoyé en mission chez les Belges ; il mourut abbé de Maroilles.

 

A York, en Angleterre, sainte Marguerite Clitherow. Convertie au catholicisme, elle abrita dans sa maison des prêtres qui étaient recherchés. Elle fut condamnée à l’horrible mort par écrasement, en 1586.

 

Et encore ailleurs, beaucoup d’autres saints et bienheureux.

 

 

26 mars

 

Les Grecs et les Russes célèbrent ce jour sainte Larissa et les martyrs de Crimée, brûlés vifs dans une église, dans la première moitié du IVe siècle.

 

Vers 650, saint Braulion, évêque de Saragosse. Disciple de saint Isidore de Séville, il contribua beaucoup à établir l’unité de la discipline dans l’Église d’Espagne.

 

Saint Hermeland ou Herbland, moine de Saint Wandrille de Fontenelle, et abbé d’Indre-sur-la-Loire, près de Nantes ; son trépas eut lieu le 25 mars, vers l’an 710.

 

En 809, saint Ludger. Disciple de saint Grégoire d’Utrecht, il fut envoyé par Charlemagne évangéliser les Saxons de l’Europe du nord-ouest. Il y implanta l’Église et fonda plusieurs monastères dont l’un donna sa dénomination à la ville épiscopale : Münster, en Westphalie.

 

A Dijon, le bienheureux Bertilon, abbé du monastère de Saint-Bénigne, massacré au pied de l’autel avec quelques-uns de ses moines en 888.

 

Et encore ailleurs, beaucoup d’autres saints et bienheureux.

 

 

27 mars

 

En Illyrie, sur la côte Adriatique, le martyre des saints Philétas et Lydie, son épouse et de leurs deux enfants, qui souffrirent pour leur foi sous l’empereur Adrien, au début du IIe siècle.

 

Au milieu du IVe siècle, saint Zanitas et ses compagnons, martyrs persans sous le roi Sapor II, en 326.

 

L’an 394, saint Jean, ermite égyptien, consulté des régions les plus éloignées, à cause de son charisme de prophète.

 

L’an 718, saint Rupert. Issu de la famille royale mérovingienne, il fut appelé au siège épiscopal de Worms. Quand il en fut chassé, il se mit à prêcher l’Évangile dans la vallée du Danube et fonda le monastère Saint-Pierre de Salzbourg, ville dont il devint le premier évêque et dont il est resté le patron.

 

Dans le Beauvaisis, en 1100, saint Matthieu. Parti en croisade avec son évêque, il fut fait prisonnier par les Sarrasins. Sommé de renier sa foi, il demanda un délai pour différer son martyre jusqu’au Vendredi-Saint suivant.

 

Et encore ailleurs, beaucoup d’autres saints et bienheureux.

 

 

28 mars

 

A Césarée de Palestine, durant la persécution de Valérien, les saints martyrs Priscus, Malchus et Alexandre. S’étant présentés de leur plein gré au juge, ils lui reprochèrent sa cruauté envers les chrétiens et furent, sur son ordre, livrés aux bêtes.

 

L’an 594, saint Gontran, petit-fils de Clovis et roi des Francs. Il exerça la charité avec munificence à l’égard des églises, des monastères et des pauvres. Il mourut au monastère Saint-Marcel, qu’il avait fondé à Chalon-sur-Saône.

 

En 750, sainte Gunelinde, nièce de sainte Odile et abbesse de Wiedermünster, en Alsace.

 

Le même jour, sainte Osburg, première abbesse bénédictine de Coventry, en Angleterre, au XIe siècle.

 

En 1414, à Tours, la naissance au ciel de Jeanne-Marie de Maillé. Devenue veuve, elle rejoignit les tertiaires franciscaines, et passa le reste de sa vie dans la pauvreté et la privation, persécutée par les parents de son mari défunt.

 

Et encore ailleurs, beaucoup d’autres saints et bienheureux.

 

 

29 mars

 

A Asti, dans le Piémont, vers 119, le martyre de saint Second, arrêté puis décapité pour avoir pris soin de la sépulture d’un chrétien.

 

L’an 327, les saints Jonas et Barachise, moines persans. Selon les actes de leur martyre, il étaient aussi frères selon la chair. Ils furent arrêtés pour avoir encouragé des chrétiens déjà emprisonnés et moururent après des supplices raffinés.

 

Le même jour, saint Pasteur et ses compagnons, martyrs, victimes de la persécution de Dioclétien, au IVe siècle, et saint Armogaste et ses compagnons, martyrs africains, victimes de la persécution de Genséric, au ve siècle.

 

En 625, la mise au tombeau de saint Eustase, disciple de saint Colomban et abbé de Luxeuil. Il fut le père de plus de six cents moines dont plusieurs furent évêques.

 

Au Pays de Galles, au Ve siècle, sainte Gladys. Sa fidélité conjugale avait laissé à désirer, mais devenue veuve, elle se convertit et passa le reste de sa vie dans la solitude.

 

Vers 1195, saint Berthold. Étudiant à l’université de Paris, il s’engagea pour la croisade. En Palestine, il rejoignit un groupe de moines au Mont Carmel, en devint le supérieur et on peut le considérer comme le fondateur de l’Ordre du Carmel.

 

Et encore ailleurs, beaucoup d’autres saints et bienheureux.

 

 

30 mars

 

Au IIIe siècle, saint Rieul, évêque de Senlis. Il fut, avec saint Denis de Paris, et saint Lucien de Beauvais, l’un des premiers évangélisateurs de la Gaule.

 

A Thessalonique, vers 304, saint Domnin, martyr, qui rendit un courageux témoignage au Christ dans les tortures.

 

Au milieu du VIIe siècle, saint Jean Climaque, moine. Originaire de Palestine, il se retira, après de brillantes études, au désert du Mont Sinaï. Il écrivit un ouvrage intitulé "L’Échelle du Paradis", véritable somme de spiritualité monastique qui lui a donné dans l’Église byzantine la première place parmi les docteurs mystiques et lui a valu son surnom de "Climaque".

 

A Lambecq, aux frontières du Hainaut et du Brabant, saint Véron, mort au IXe siècle : son corps est honoré en l’église Sainte-Waudru de Mons (Monss).

 

En 1472, le bienheureux Amédée IX, troisième duc de Savoie, qui laissa le souvenir d’une grande charité envers les pauvres.

 

Le Vendredi-Saint 1866, à Séoul, en Corée, le martyre du bienheureux Antoine Daveluy, originaire d’Amiens et prêtre de la Société des Missions Étrangères de Paris.

 

En 1900, la naissance au ciel de saint Léonard Murialdo. Célèbre pour des œuvres sociales, il fonda une congrégation de Saint-Joseph consacrée à la formation professionnelle de la jeunesse pauvre. En 1855, promoteur de la journée de huit heures, il fut alors traité de socialiste par des conservateurs catholiques.

 

Et encore ailleurs, beaucoup d’autres saints et bienheureux.

 

 

31 mars

 

A Antioche de Pisidie, au milieu du IIIe siècle, saint Acace, évêque. Interpellé par le consul Marcien, il fit des réponses d’une telle sagesse que le gouverneur sursit à toute exécution et que l’empereur le remit en liberté.

 

En Perse, vers 440, saint Benjamin, diacre. Il fut soumis à la torture pour avoir préféré adorer le Christ plutôt que le soleil.

 

L’an 1046, saint Guy. Né aux environs de Ravenne, il vécut d’abord sous la direction d’un ermite qui l’envoya à l’abbaye de Pomposa. Devenu abbé, il attira de nombreux disciples et fit de son monastère l’un des plus importants de l’Italie septentrionale.

 

A Arras, en 1147, un autre Guy, bienheureux. Ce disciple de saint Norbert fut le fondateur et premier abbé d’un monastère situé à Vicoigne, près de Valenciennes.

 

Mémoire de saint Daniel. Commerçant allemand, il se rendit à Venise pour ses affaires et, rencontrant des moines camaldules, il s’engagea dans la vie érémitique. Des brigands l’assassinèrent dans son ermitage en 1411.

 

Et encore ailleurs, beaucoup d’autres saints et bienheureux.